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Templier avalonien

Oct 03 alkemy_the_game  

Pour la Reine et pour l’Eglise,
Pour la Terre et pour la Foi,
Par le sang et par le fer,
Par le droit et la justice,
Pour le Temple et pour le saint Beathacrann,
Nous tiendrons et passerons.

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Les templiers existent depuis bien avant Avalon. Autrefois chargés de protéger les alchimistes et leurs laboratoires, ils sont l’élite guerrière des sept baronnies et leur histoire y est intimement liée. En repoussant les armées de la Triade de jade, ils ont permis à celui qui allait devenir Caedmon et à ses hommes de prendre suffisamment d’avance pour fonder leur propre royaume. Et c’est pour remémorer cet exploit que l’Église compte désormais trois monastères : Mâtines, Complies et Vêpres.
Depuis, ils ont bien sûr développé leurs propres spécificités, mais lorsque la menace se fait pressante ou que l’Église doit défendre ses intérêts, les templiers des trois monastères font front et se portent à l’avant des combats, tous unis sous la double bannière d’Avalon et du Beathacrann.
Les templiers sont avant tout les symboles vivant de la détermination du royaume et de sa foi inébranlable. Athlètes au corps épais et rugueux, longuement entraînés à une discipline sans pareille, fermement installés dans leur lourde armure d’obsius aux couleurs de leur monastère, ils manient le bouclier et une puissante épée dont ils peuvent se servir aussi bien d’une main que de deux. Ainsi protégés, il faut déployer une agressivité rare pour les débusquer et, lorsqu’ils sont bien soutenus par des unités de novices ou un officier suffisamment inspiré, ils ont la réputation d’être invincibles.
Mais plus encore, c’est leur ferveur religieuse et leur conviction de toujours agir pour la justice et le bon droit, conformément aux demandes de l’Église, qui permet à ces hommes de puiser jusque dans leurs dernières ressources pour tenir et de frapper leurs ennemis avec une sauvagerie non feinte. Ils sont un exemple pour les autres soldats mais il est probable que s’ils devaient fuir, toute l’armée les suivrait dans la défaite.