Dénaturés et métamorphosés par les effets conjugués des drogues et des poussées anarchiques végétales, les corps des pujlanar durent trouver des adaptations pour survivre. Le manque d’antasmoïsa, l’absence de chaleur, les besoins minéraux et organiques sont autant d’explication à leur faim incessante.
Frêles parmi les pujlanar, les nécromorphes devaient se nourrir avant d’être chassés par leurs frères plus puissants. Ils sont ainsi devenus très rapides dans l’art subtil d’aspirer la vitalité d’une proie. La vision d’un corps se dévidant dans tous leurs tentacules en une fraction de seconde est affreusement insupportable.

Concept de Thomas Verguet